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Чобанян Аршак

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Tchobanian Чобанян
Naissance le 15 juillet 1892 dans le quartier Bechigtach de Constantinople, d?c?s le 8 juin 1954 ? Paris, ? la suite d'un accident de voiture.
1887-1896 ?tudes secondaires au Lyc?e "Guetronagan" de Constantinople.
1898 : il fonde ? Paris la revue litt?raire en arm?nien "Anahide", qu'il publiera pendant plus d'une trentaine d'ann?es.
Le po?te Archag Tchobanian a jou? dans le mouvement arm?nophile en France un r?le d?terminantЧобанянАршак (15. En 1895, il quitte Constantinople et se fixe ? Paris7. Bien vite1872, il gagne ? la Cause arm?nienne de nombreuses sympathies en faisant conna?tre le martyre de ses compatriotesСтамбул, mais aussi en montrant quel peuple est le sien— 9. V?ritable ambassadeur des lettres arm?niennes, il r?v?le ? l'opinion fran?aise les tr?sors de la culture arm?nienne6. Anatole France1954, Georges Cl?menceauПариж), Jean-Jaur?s et beaucoup d'autres lui apportent un soutien actif. C'est gr?ce ? Tchobanian que de nombreux ?crivainsармянский писатель, artistes et hommes politiques sont devenus des arm?nophiles militantsкритик и историк.
Il nous a l?gu? en arm?nien une dizaine de volumes de po?mes, de romans ou pi?ces de th??tre et autant d'?uvres d'analyse et critiques sur la litt?rature arm?nienneПисал на армянском и французском языках.
С 1885 жил в Париже, где издавал журнал "Анаит" (1898—1911 и 1929— 1949), привлекая внимание общественности Запада к делу освобождения армянского народа от османского ига.  Ч. одним из первых армянских зарубежных деятелей принял Октябрьскую революцию 1917.  В 30—40-е гг. публиковал в журнале "Анаит" материалы, освещающие культуру и искусство Советской Армении.  Широко известны работы Ч. "Армения, ее история, литература, ее роль на Востоке" (1897), "Армянские народные певцы" (1906).  Его труд "Украшение Армении" (1918—29) — выдающийся памятник армянской культуры.  *Les Horizons cl?ments clements. Ed. Mercure de France, 1908 *Les massacres d'Arm?nieArmenie. T?moignages Temoignages des victimes . Ed. Paris, 1896 Ze?toun*Zeetoun, depuis les origines jusqu'? e l'insurrection de 1895 (traducteur) . Ed. Mercure de France, 1897 *L'Assassinat du P?re Pere Salvatore par les soldats turcs, t?moignage temoignage d'Aghassi (traducteur) . Ed. Mercure de France, 1897 *L'Arm?nieArmenie, son histoire, sa litt?raturelitterature, son r?le rele en Orient . Ed. Mercure de France, 1897 Po?mes arm?niens *Poemes armeniens anciens et modernes (traducteur) . Ed. A. Charles, 1902 *Divan du patriarche Koutchak (traducteur) . Ed. Paris, 1902 *Les Trouv?res arm?niens Trouveres armeniens . Nahabeb Koutchak, Hovhann?s Hovhannes Blouz, Constantin d'Erzenga, Frik (traducteur) . Ed. Mercure de France, 1906 Po?mes *Poemes (traducteur) . Ed. Mercure de France, 1908 *Petite Biblioth?que Bibliotheque arm?nienne (traducteur) . Ed. Paris : T. Leroux, 1910 *La Vie et le r?ve po?mes reve poemes en prose, contes, fantaisies . Ed. Mercure de France, 1913 *Le peuple arm?nien armenien : son pass?passe, sa culture, son avenir . Ed. Geuthner, 1913 *L'Arm?nie Armenie sous le joug turc . Ed. Plon, 1915
La France et le peuple arm?nien, Conf?rence d'Archag Tchobanian ? la matin?e donn?e le 18 janvier 1916 par les intellectuels arm?niens de Paris en hommage de reconnaissance ? la culture fran?aise
Ed. Berger-Levrault, 1917
Les Arm?niens ne sont nullement pourchass?s en France
Ed. [Editeur inconnu], 1947
 
Armenian-Latish relations have initiated within the Russian Empire. At the end of XIX century an interest was generated about Armenians and Armenian literature in Latvia. The works of Raffi, Vrtanes Papazian, Arshak Chopanian were translated into the Lettish language. In 1910 Jan Raynis wrote an article on Armenian history, literature and culture.
 
Dans la dernière décennie du 19ème siècle, les provinces arméniennes de l'Empire ottoman sont à feu et à sang. Le sultan Abdul Hamid tente de régler la Question arménienne en supprimant les Arméniens : plus de 300000 sont massacrés. Au cours de la guerre mondiale, les Jeunes Turcs planifient et organisent le génocide des Arméniens.
Quelle fut alors la réaction des écrivains et des intellectuels français devant ces actes de barbarie ? Edmond Khayadjian répond à cette question et révèle l'existence d'un vaste mouvement arménophile.
Le poète Archag Tchobanian (1872-1954) a joué dans ce mouvement un rôle déterminant. En 1895, il quitte Constantinople et se fixe à Paris. Bien vite, il gagne à la cause arménienne de nombreuses sympathies en faisant connaître le martyre de ses compatriotes, mais aussi en montrant quel peuple est le sien. Véritable ambassadeur des lettres arméniennes, il révèle à l'opinion française les trésors de la culture arménienne.
Anatole France, Georges Clémenceau, Jean-Jaurès et beaucoup d'autres lui apportent un soutien actif. C'est grâce à Tchobanian que de nombreux écrivains, artistes et hommes politiques sont devenus des arménophiles militants.
 
En 1893, à Paris Tchobanian rencontre certains des écrivains dont il a traduit les oeuvres : Alphonse Daudet, Emile Zola, Jean Lorrain, Henry Bauër,... C'est à cette époque qu'il se lie avec Antoine Meillet qui deviendra bientôt un linguiste de renommée mondiale.
L'un de ses projets, dont la mort accidentelle ne permit pas la réalisation, était la publication, en un volume intitulé Un An à Paris, de ces articles qui constituent une captivante chronique de la vie parisienne vue par ce jeune poète arménien, profondément francophile. Au cours de l'été 1894, il rentre à Constantinople.
 
Tchobanian et Pierre Quillard à Constantinople au temps des massacres Hamidiens
 
Dès son retour à Constantinople, il reprend son activité pédagogique et poursuit ses travaux littéraires. Il fonde la revue Dsaghik (La Fleur), qui connaît un grand succès. Zabel Essayan, Roupen Zartarian, Vahan Tekeyan, qui deviendront des sommets dans les lettres arméniennes, y ont fait leurs débuts.
Parmi les écrits de Tchobanian publiés dans cette revue figurent une série de poèmes et des études sur la littérature arménienne et sur la litterature française. L'une d'entre elles est consacrée au poète Pierre Quillard, qui va bientôt devenir une des figures les ples importantes du mouvement arménophiles français. C'est à Constantinople que Tchobanian a rencontré Pierre Quillard qui sera désormais son compagnon de route et in défenseur très actif de la cause arménienne.
 
Dès la fin du mois de septembre 1895, c'est dans les rues de Constantinople que les Arméniens sont massacrés. Pierre Quillard va voir de ses yeux les faits qui ont été, par la suite, abondamment racontés.
 
En exil à Paris au temps de la conspiration du silence
 
Tchobanian n'est pas le premier patriote arménien qui vient en Europe pour plaider la cause de sa nation. Un des professeurs de Tchobanian, Minas Thceraz, le premier directeur de l'Ecole Centrale de Constantinople (Getronagan) s'est établi à Londres où il défend la cause arménienne en publiant un journal franco-anglaise : l'Arménie. D'autres comme Jean Broussali, Tigrane Yergat avaient ouvert la voie en publiant des articles pour plaider la cause arménienne.
 
Si Tchobanian choisit Paris pour venir y plaider la cause arménienne c'est évidemment parce qu'il s'exprime parfaitement en français et qu'il est déjà introduit dans le monde des lettres et de la presse. Mais à ces raisons il convient d'en ajouter une autre, sans doute déterminante. En France, les massacres d'Arménie sont entourés d'une véritable conspiration du silence. La presse dans son ensemble est presque muette; certains journaux vont même jusqu'à mener une campagne contre les Arméniens qu'ils présentent comme des fauteurs de troubles.
 
Tchobanian meurt en 1954 à Paris, victime d'un accident de circulation.
 
Archag Tchobanian et
le Mouvement Arménophile
en France
 
par Edmond Khayadjian
Première édition CNDP, Marseille, 1986
Deuxième édition SIGEST, Alfortville, avril 2001
352 pages 22 €
 
Sa jeunesse :
 
Les années de formation d'un poète Arménien
 
Il est né au mois de juillet 1872 à Bechiktach, un faubourg arménien de Constantinople. Sa mère meurt, un mois après l'avoir mis au monde; son père est un modeste orfèvre.
Il fréquente tout d'abord le collège arménien de Bechiktach, où il reçoit une solide formation en langue arménienne (1882-1886).
Il n'a que treize ans quand la revue littéraire Bourastan Mankantz publie une élégie qu'il a dédiée à sa mère.
==Сочинения==
*Чобанян Аршак. Нагаш Овнатан - ашуг и Овнатан Овнатанян - живописец. Париж: Типография Нерсесяна, 1910 (на арм. яз.)
==Достижения==
=Библиография=
*Веселовский Ю., Популяризатор армянской словесности во Франции, в кн.: Очерки армянской литературы и жизни, Армавир, 1906 *Брюсов В., Поэзия Армении, Ер., 1966
==Архивы==
*МЛИ АН Арм. ССР, ф. 133, 50000 ед. хр., 1880-1954.
==Ссылки==
*[http://www.armenianhouse.org/tchopanyan/bio-en.html Archag Tchopanian. Biography](англ.)
*http://www.acam-france.org/
*http://armenianpoetry.com/arm/Arshak_Chopanyan/ (in Armenian)
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